TRADUCTION

jeudi 19 février 2015

Nouvelles du provincialat


«Les yeux fixés sur Jésus Christ »
Sœur Victorine Bagalwa, cmt
Provinciale
Comme on le sait, la dernière réunion du conseil provincial s’est tenue  à Nairobi. Pour changer un peu de cadre et éviter ainsi la monotonie et l’habitude qui, facilement peuvent amener à l’indifférence par rapport au travail à réaliser,  les membres du Conseil se sont rendues au couvent des Pères Passionistes à Tangaza. La réunion a connu la participation de toutes :
La Sœur Victorine Bagalwa (Provinciale) revenait de la France, pour raison de santé. Sans repos de convalescence, elle a tout de suite endossé la tablier  de service par amour pour notre province. Pour elle, c’était un rendez-vous à ne pas manquer vue les échéances provinciales qui se pointent déjà à l’horizon.
De Kinshasa est venue la Sœur  Godelieve Ngemulo  (1ère  conseillère)‏. De Yaoundé, nous est arrivée la Sœur Marie- Jésus Delgado (2ième  conseillère)‏. Sur place à Nairobi habite la Sœur Joséphine Kahambu (3ième conseillère et secrétaire).‏ De Bamako , nous avons accueilli la Sœur Xaverine Mihara  (4ième conseillère)‏.
Outre la révision de  quelques affaires urgentes d’intérêt commun, le gros du travail, pendant toute une semaine, était centré sur la préparation de notre chapitre provincial qui se tiendra à Yaoundé au Cameroun du 03 juin au 10 juin 2015.
Le thème est déjà annoncé : « Les yeux fixés sur Jésus Christ ». Tout au long de ce temps de rencontre, de prière et de partage sur la vie de notre province, qui se trouve sous le patronage de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, nous aimerions que nos yeux soient vraiment fixés sur le Maître de la Moisson et de la Mission pour contempler le passé avec un cœur plein de reconnaissance pour tous les bienfaits reçus de Lui. Nos yeux nous seront d’un grand secours aussi pour scruter le présent avec passion, zèle et une « détermination déterminée » comme nous l’a recommandé notre Mère Sainte Thérèse dont nous célébrerons, cette année, le cinquième centenaire de sa naissance  et, en même temps, toujours avec les yeux fixés sur Jésus, voir comment trouver une ouverture vers l’avenir avec espérance. 
Ne dit-on pas que tant qu’il y a la Vie, il y a de l’Espoir ? Nous aurons à faire recours à cette espérance pour qu’elle nous fasse marcher plus loin de nos peurs qui nous emprisonnent et nous empêchent de nous engager comme il le faut au profit de Dieu et le  Prochain.
 Le logo préparé à cet effet en dit long.
Pendant ce sixième chapitre provincial, nos yeux seront fixés sur le principal objectif qui est de renouveler notre premier amour au Christ en approfondissant notre motivation première et en rencontrant nos racines chrétiennes, charismatiques, et carmélitaines pour vivre avec reconnaissance, joie, passion et espérance notre vie consacrée comme CMT, engagées entièrement au service de l’Église.
En attendant de nous rencontrer, dans quelques mois, nous recommandons ce chapitre provincial aux prières de chaque communauté et de chacune d’entre nous.



Tanzanie: Début des travaux de construction

Une franche collaboration de toutes..
 pour un avenir meilleur
« Moi, j’ai planté, Apollos a arrosé ; mais c’est Dieu qui donnait la croissance.
Soeur Clarisse Raharisoa,
cmt/Antananarivo
Donc celui qui plante n’est pas important, ni celui qui arrose ; seul importe celui qui donne la croissance : Dieu. Nous sommes des collaborateurs de Dieu, et vous êtes un champ que Dieu cultive, une maison que Dieu construit ». On a reconnu, sans difficultés, les paroles de Saint Paul Apôtre dans sa première lettre aux Corinthiens, paroles qui invitent à une franche collaboration si l’on veut bâtir une œuvre durable. Cela fait deux ans que les carmélites missionnaires thérésiennes de la province « Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus » ont acheté un terrain en Tanzanie, dans la Ville de Mwanza, précisément à Nyakato. La sœur Clarisse qui revient de-là veut partager avec nos lecteurs et ses consœurs le lancement des travaux de construction du couvent. Pour le faire, elle nous retrace l’histoire de cette fondation. Elle n’oublie pas  les grand défis en présence mais aussi les opportunités qui s’offrent à cette  congrégation fondée par François Palau.
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Il y a deux ans…
Ce projet de la fondation en Tanzanie ne date pas d’aujourd’hui. On se rappellera que c’était au début de l’année 2013 que les démarches avaient commencé avec les sœurs Beata Kayitesi, Joséphine Kahambu et Mireille Kabeya comme « éclaireurs ». La fondation en Tanzanie, c’était une des décisions prises lors de notre dernier chapitre. En 2013, les sœurs éclaireurs avaient effectué deux visites dans la Ville de Mwanza au nord de la Tanzanie pour la prospection et l’achat du terrain. On se rappelle encore de l’accueil chaleureux qui nous a été réservé par Mgr Jude Thaddeus Ruwa’ichi, l’Archevêque de Mwanza. Avec un cœur de père et de pasteur, il s’est montré disponible à nous accompagner dans toutes les étapes de cette œuvre de fondation. 
rencontre avec Mgr Jude,l'archevêque de Mwanza

L'actuelle habitation des soeurs carmélites missionnaires thérésiennes à Nyakato
On se rappelle encore qu’après cet accueil inoubliable, comment, sans hésité, il a accepté de nous prêter une des maisons de l’archevêché comme logement pour les sœurs qui viendraient superviser les travaux de l’implantation, le temps que nous construisions notre couvent. 
A ces visites, il faut ajouter celle de la sœur Victorine Bagalwa, notre actuelle Provinciale, effectuée en juin 2014, visite au cours de laquelle elle a eu l’occasion de rencontrer l’ordinaire du lieu pour une prise de contact et pour traiter du dossier de la continuité de notre fondation.
A l’issu de sa visite, les postulantes ont été transférées à Naïrobi, en attendant que les bâtiments soient terminés.

Aujourd’hui plus qu’hier…
Aujourd’hui, nous sommes heureuses de vous annoncer que les travaux ont effectivement commencé et que le chantier est en marche. La bénédiction de la parcelle et du chantier a eu lieu le jeudi 12 février 2015 à 11 heures sous la présidence du Père Nana, missionnaire d’Afrique et curé de la paroisse de Nyakato. 



Avec le psalmiste nous savons que « si le Seigneur ne bâtit la maison, la bâtisseurs travaillent en vain ». Aussi, nous avons voulu l’associé, lui Jésus, l’architecte et maître du chantier, lui qui nous devancé sur ce terrain, lui qui connait le projet de nos cœurs. C’est tout juste après la bénédiction que les premiers coups de pioche du lancement officiel des travaux ont retenti. Pour le moment, nous ne sommes qu’au niveau de la fondation.

La petite communauté des pionnières est formée de trois de nos consœurs : Venantie, Tabitha et Elise qui habitent dans la maison que Monseigneur l’archevêque nous a prêtée. 

Comme nous l’avions dit, petite communauté aura pour tâche de suivre l’évolution des travaux du chantier avec l’aide du curé dont la collaboration n’est plus à démontrer.
Demain, meilleur il fera…
Pour un premier temps, nous pensons construire une maison de trois chambres, avec une chapelle, un réfectoire, une salle de séjour, une cuisine avec dépôt, une buanderie ainsi que les sanitaires. Suivront  l’élévation des murs de clôture ainsi que les autres grandes constructions.
Comme toute bonne fille de Francisco Palau, nos trois sœurs commencent, petit à petit, à s’insérer dans l’apostolat en dispensant des cours dans trois écoles différentes et, à la paroisse, elles s’engagent dans la chorale.
Pour vous donner un peu l’idée de l’endroit où est située notre parcelle, retenez que c’est à Mwanza, la deuxième ville de Tanzanie, au nord du pays. Notez aussi que cette zone est en voie de développement avec quelques universités. Le paysage est magnifique : des vallées, des grosses roches extraordinaires et surtout le lac Victoria. 


Le projet initial est d’y mettre une maison de formation pour le deuxième noviciat et plus tard, voir comment implanter d’autres œuvres apostoliques, selon notre charisme, comme notre contribution à l’Eglise locale et aussi comme source d’auto prise en charge de notre province. Nous avons devant nous de grands défis à relever, défis qui nous concernent nous toutes et demandent la contribution de toutes et de chacune. C’est la main dans la main que nous pourrons saisir les opportunités qui s’offrent à nous afin de remplir notre mission dans l’Eglise. Tout pour la gloire de Dieu!



vendredi 13 février 2015

ITAOSY: L'arrivée de la relique de Sainte Thérèse D'Avila

La canne de la « Dame errante de Dieu » à Itaosy
Père Jérôme Paluku, ocd
Assistant au Secrétariat Général
pour les Missions OCD
Rome
Elle va parcourir une trentaine de pays situés dans les 5 continents. Elle, c’est la canne qu’avait utilisé Thérèse d’Avila quand elle parcourait toutes les provinces d’Espagne pour y fonder les 17 monastères des carmélites déchaussées pendant la période allant de 1567 à 1582. Ce sont ces fondations qui lui feront valoir l’appellation de la « Dame errante de Dieu ». Considérée hier, par Thérèse, comme un appui de la marche, surtout dans les derniers moments de sa vie quand elle était épuisée par ces multiples voyages ;  aujourd’hui, cette canne est devenue une relique de second degré, digne de vénération. Mais pourquoi cette canne-relique doit-elle parcourir les 5 continents ? C’est à cette question que le Père Jérôme tente de répondre dans ces lignes tout en relatant l’arrivée de la relique au couvent des carmélites missionnaires thérésiennes d’Itaosy (Madagascar).
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Sur le « Chemin de Lumière »…
                            guidé par Thérèse d’Avila

Faire parcourir la relique de Sainte Thérèse d’Avila dans les 5 continents est une manière de rendre hommage à cette Sainte réformatrice de l’Ordre du Carmel et docteur de l’Eglise dont nous célébrerons le cinquième centenaire de sa naissance cette année. C’est aussi  une façon de faire participer, autant que possible, les membres de sa famille religieuse ainsi que tous les croyants des cinq continents à cet événement plus qu’ecclésial. L’arrivée de la relique dans divers lieux du monde est aussi une occasion pour celles et ceux qui ne connaissaient pas Sainte Thérèse d’Avila auparavant de faire sa connaissance en goûtant, autant que faire se peut,  à sa doctrine spirituelle.
C’est dans ce cadre qu’il faut situer le projet appelé « Chemin de Lumière », nom donné à ce grand parcours qui a commencé à Avila le 15 Octobre 2014, jour de la fête officielle de Sainte Thérèse D’Avila et qui prendra fin à la date et au lieu de la naissance de Thérèse : le 28 mars 2015 à Avila et ce, après que sa canne–relique ait parcouru un total de 117.000 kilomètres. Dans ce grand parcours, on se rappellera que la vie est un pèlerinage et une  mission .  Pèlerinage sur cette Terre des hommes en vue d’y accomplir une mission précise reçue du Seigneur avant de le rejoindre dans les Demeures Eternelles.  
Sainte Thérèse d’Avila: patrimoine de l’humanité
Pour marquer cet aspect missionnaire qui habitait le cœur de Thérèse D’Avila, une trentaine des pays disséminés à travers les 5 continents ont été retenus :

Amérique: Etats-Unis, le Mexique, le Brésil, la Colombie, le Chili, l'Argentine, l'Équateur, l'Uruguay et le Paraguay.
Asie: l'Inde, la Corée du Sud, Taiwan, Israël, le Liban.
Océanie: Australie, Indonésie, Samoa et la Nouvelle-Zélande.
Europe: Espagne, Portugal, Italie, Croatie, France, République tchèque
Afrique: Côte-d'Ivoire, le Togo, le Burkina Faso, le Kenya, la Tanzanie et la grande île de Madagascar.
La relique de Thérèse chez les filles de Palau à Itoasy
La relique de Sainte Thérèse a séjourné dans la grande île (Madagascar) du 20 au 24 janvier 2015, accompagnée par une équipe forte de quatre personnes: Le Père Jérôme Paluku, prêtre de l’Ordre des carmes déchaux, membre de la Délégation Générale Saint Joseph du Congo et assistant au secrétariat général pour les Missions OCD, la demoiselle Amaya Álvarez,  journaliste, le Monsieur Pablo Montesinos, cameraman et  directeur de reportage et la  demoiselle Cristina Marcos, médecin.
















Arrivée à Itaosy le 24 janvier 2015 autour de 16 heures, sous les applaudissements et un accueil chaleureux des religieuses, des élèves et de toute l’assistance, la relique a transité par la chapelle du couvent des carmélites missionnaires thérésiennes (congrégation fondée par un des fils de Sainte Thérèse, le Bienheureux François Palau, carme déchaux) pour un temps de recueillement. 
















Elle sera ensuite exposée dans la grande salle du complexe scolaire le Bienheureux François Palau pour la vénération avant de reprendre son parcours.  



jeudi 5 février 2015

GOMA: ANNÉE DE LA VIE CONSACRÉE

PROGRAMME DES RENCONTRES DE PARTAGE ET DE RÉFLEXION   AUTOUR DE LA VIE CONSACRÉE

« RÉVEILLEZ LE MONDE »

Soeur Honorance Zawadi
Cmt/ Goma
Le premier dimanche de l’Avent de l’année passée, c’était  le début officiel de l’Année de la vie consacrée, voulue par le pape François. À cette occasion, le Pape avait écrit un message à l’intention des personnes consacrées. Le successeur de Saint Pierre leur avait donné trois paroles-clé pour vivre l’année de la vie consacrée : être joyeux, être courageux et être infatigable. Les consacrés du  diocèse de Goma veulent  mettre en pratique ces recommandations. Pour y arriver, un calendrier des rencontres a été conçu et quelques activités prévues. Dans les lignes qui suivent, la sœur Honorance  Zawadi nous en parle dans les détails et retrace les activités qui ont été prévues pour la journée de la vie consacrée du 2 février 2015.  Il faut dire que cette année de la Vie consacrée durera en réalité plus d’un an, car elle sera clôturée le 2 février 2016.
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 « J’attends, de plus, que grandisse la communion entre les membres des divers instituts. Cette année ne pourrait-elle pas être l’occasion de sortir avec plus de courage des frontières de son propre institut, pour élaborer ensemble, au niveau local et global, des projets communs de formation, d’évangélisation, d’interventions sociales ? De cette manière, un réel témoignage prophétique  pourra être offert plus efficacement. La communion et la rencontre entre les différents charismes et vocations est un chemin d’espérance. Personne ne construit l’avenir en s’isolant, ni seulement avec ses propres forces mais en se reconnaissant dans la vérité d’une communion qui s’ouvre toujours à la rencontre, au dialogue, à l’écoute, à l’aide réciproque, et nous préserve de la maladie de l’autoréférentialité » (cfr. Lettre du Pape François à l’occasion de l’année de la vie consacrée )

Pour répondre à cette attente du Pape François, le Centre Pallottin de  Formation (CPF), en collaboration avec l’ASUMA, USUMA /Goma et  FRADIGO ( Fraternité des Abbés de Goma), ont proposé une série de six rencontres de réflexion autour du thème : « Réveillez le monde » (cf. Pape François)

TROIS PRINCIPAUX OBJECTIFS DE L’ ANNÉE DE LA VIE CONSACRÉE

-         « faire mémoire avec gratitude »  du passé récent, depuis le concile,
-         « embrasser l’avenir avec espérance »,
-         «  vivre le présent avec passion » dans le sillage des fondateurs ( cfr. Cardinal Joao Braz, Préfet de la congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostoliques )

CALENDRIER DES RENCONTRES

1.       Dimanche  11 /01 : « Vivre la fraternité évangélique dans un monde de division ». Par le Père Joachim KALONGA, ocd
2.      Dimanche 08/03 : « Spiritualité de la consécration religieuse et sacerdotale »
Par le Père Eugène NIYONZIMA, sac (Pallottin)
3.      Dimanche 10/05 : « Gestion des personnes et des biens, un défi pour la vie consacrée en RDC. Par l’Abbé Jacques LETAKAMBA
4.      Dimanche 12/07 : « Les vœux, un trésor dans un vase d’argile.  Pour un témoignage prophétique dans un monde hédoniste. Par une religieuse
5.      Dimanche 13/09 : « La prière, l’âme de la vie consacrée » Par le Père Vedaste.
6.      Dimanche 08/11 : « Consacré(e)s face à l’engagement social de l’Eglise à la suite du prophète » Par le Père Bernard Ugeux (missionnaire d’Afrique)

AUTRES ACTIVITES ORGANISEES

1.       Samedi  31/01 : Visite à la prison centrale de Goma accompagnée des vivres à donner aux prisonniers. Personne visitées : Les mineurs et les femmes
















2.     Lundi 2/02 :   journée des consacrés
9h : Exposition dans la grande salle de la Paroisse ND du Carmel : charisme de chaque congrégation


9h45- 11h25: Conférence suivi du débat par Le vicaire Général , Abbé Louis NZABANITA autour du thème : « Les attentes du Diocèse de Goma sur la vie consacrée ».















Le conférencier s’est appuyé  un texte paulinien (1 Cor 7, 32-35) pour faire émerger trois idées centrales :
-         Nous devons être libres de tout souci pour nous occuper des affaires du Seigneur.
-         Nous avons le devoir d’aimer l’Eglise et de montrer la clarté du visage du Christ.
-         Le Christ nous fait participer à ses trois fonctions.
Avant de conclure, l’Abbé Louis a rappelé que la vie consacrée est un choix qui veut répondre aux questions fondamentales : Qui suis-je ? Seigneur, que veux-tu que je fasse pour toi ?
Au sujet des attentes du diocèse du diocèse de Goma sur la vie consacrée, le conférencier a été clair : Selon le charisme de chaque congrégation, il y a une convention entre l’Evêque et la congrégation. Le Diocèse attend « tout » des consacrés eu égard à leur donation totale pour l’Eglise et pour leurs frères et soeurs.
Pour une bonne collaboration, deux moyens sont plus que nécessaires :
-         La Communion avec l’ordinaire du lieu en partageant ses joies, peines et préoccupations
-         Une bonne communication  qui passe par le respect les directives pastorales de l’Evêque.
Après la conférence, les participants se sont rendus dans l’église paroissiale Notre Dame du Carmel pour l’eucharistie, à 12h30, sous la présidence de l’Abbé Louis.   
Dans son homélie  axée sur les textes liturgiques de la fête de la Présentation du Seigneur, une seule question a jailli : Que devons-nous offrir à Dieu comme consacrés ?

Pendant l’offertoire, les consacrés ont présenté :
- La Statue de la Vierge : Imiter Marie, 1er Disciple du Christ
- La Colombe : symbole de l’Esprit Saint et de la paix
-Le Globe terrestre: monde avec variété de peuple et culture
-Les Fleurs : variété des dons et  variété de charisme
-Un Vase d’argile : notre fragilité
-Divers fruits : efforts de nos vies, notre générosité
-Pain et vin




Après l’Eucharistie, tous les consacrés ont partagé le repas dans la grande salle de la paroisse